Pages vues le mois dernier

mercredi 9 mai 2012

Réflexion chapitre 2 - Épuisement des ressources

9 mai

J'ai vais tenter de vous exprimer ma réflexion quant aux quelques concepts que j'ai retenus du deuxième chapitre du livre de Wright.

À première vue, notre synchronisme. Comme certaines étudiantes l'ont déjà mentionné dans leur blogue, il est arrivé que différentes civilisations, d'un océan à l'autre, aient adopté les mêmes pratiques au même moment. En effet, nous sommes bien plus similaires qu'on le croit.

Par ailleurs, vivant dans des conditions nouvellement idéales, les chasseurs-cueilleurs ont découvert qu'il était possible de prendre « de l'avance » en quelque sorte...

« (...) le loisir né d'un surplus de nourriture. Les chasseurs et cueilleurs produisaient plus que ce qu'exigeait leur subsistance, ce qui leur donnait le temps de peindre les murs, de fabriquer des perles et des effigies, de faire de la musique, de se doter de rituels religieux. Pour la première fois, les gens étaient riches. » (p. 54-55)

Puisque ce mode de vie leur plaisait, qu'ils ont découvert la possibilité de chasser une plus grande quantité de gibier en moins de temps et de provisionner leurs récoltes, ils avaient le désir de progresser de plus en plus.

« (...) les peuples sédentaires avaient peu de raison de limiter le nombre d'enfants qui se révélaient utiles aux champs et pour les tâches ménagères.»(p.63)

De fil en aiguille, l'humanité s'est multipliée en peu de temps, nous laissant avec la surpopulation actuelle que l'on connaît aujourd'hui.

« Depuis les années 1900, la population mondiale s'est multipliée par quatre (...) ». (p.48)

Par contre, une plus grande population signifie plus de bouches à nourrir. Qu'arrive-t-il lorsque la nature n'arrive plus à subvenir aux besoins de la population? Les civilisations voulaient sauver leur peau : des génocides sont survenus. Sur ce propos, j'ai bien peur que c'est ce qui nous attend, nous, les nord-américains, d'ici les 30 ou 40 prochaines années...

La différence aujourd'hui, c'est qu'il est crucial de bien savoir préserver notre terre, parce que nous n'avons nul pas ailleurs où nous pouvons nous installer. Voilà la leçon que j'ai tirée de ce chapitre. La modération et le partage peut nous permettre d'offrir un monde meilleure à nos enfants, contrairement à l'avarice, qui nous pousse à nous autodétruire.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire